Cycle de 6 conférences « Passerelles pour l’art contemporain » avec Anne-Gaëlle Burban, les

Jeudi 10 octobre 2013,  module 1 : la beauté
Jeudi 28 novembre 2013, module 2 : l’art de la rencontre
Jeudi 19 décembre 2013, module 3 : la ville
Jeudi 16 janvier 2014, module 4 : le corps dans l’art
Jeudi 13 février 2014, module 5 : les temps suspendus de la photographie
Jeudi 13 mars 2014, module 6 : gestes, traces et signes, en partenariat avec le Festival Expoésie
à 20h à l’Espace Britten, 3 rue Varsovie à Périgueux

Concert piano et orchestre
le samedi 14 décembre 2013 à 19h au théâtre le Palace – rue Bodin – Périgueux

Ce concert a été donné par les élèves du Conservatoire de Périgueux et du Conservatoire de la Dordogne. Il a marqué la fin de la première résidence de David Lampel. Ce compositeur franco-suédois, résidant à Paris, a passé deux jours avec les élèves pour préparer notamment des pièces pour piano à quatre mains et des pièces pour orchestre, qui ont été proposées au public à l’occasion de cette soirée.
En amont, quatre sessions d’orchestre ont réuni les élèves des deux conservatoires autour de l’oeuvre de Lampel mais aussi du concerto pour guitare d’Heitor Villa-Lobos et des variations Enigma de Edward Elgar. Ce fût une très belle soirée en compagnie des jeunes musiciens.

le Centre Culturel de la Visitation a accueilli les oeuvres d’un artiste peu connu Laurent Rabier du jeudi 21 novembre au vendredi 20 décembre 2013.

« Artificialis »
de Laurent Rabier

Né en 1975, Laurent Rabier vit et travaille à Montluçon. Diplômé d’un capes d’arts plastiques, il pratique la peinture figurative, à la différence qu’il opère un croisement entre hyperréalisme américain et nouvelle objectivité allemande, dans sa pure tradition picturale, par l’utilisation de la peinture à l’huile.

 « Réduire l’objet pour s’en saisir »

…Laurent Rabier s’approprie des images du réel, généralement puisées dans les médias, qu’il dissèque et reconstruit grâce à une utilisation précise de plusieurs techniques ; la sculpture comme première étape, puis la photographie et enfin la peinture. Il s’intéresse à la connaissance de notre actualité avec beaucoup d’objectivité de telle sorte que les œuvres  ne s’embarrassent pas de charge narrative. Libre au regardeur de définir son point de vue sociologique, psychologique ou même artistique. Niant toute métaphysique où le présent n’existe réellement que lorsqu’il est l’objet d’une appréhension en acte, l’artiste construit et l’objet est là, dessiné avec la précision du cliché photographique, doté d’une signifiance universelle (…).

A eu lieu une journée de stage de musiques traditionnelles encadré par Sylvain Roux, professeur au Conservatoire de Musique et de Danse de Périgueux

 le samedi 7 décembre de 9h à 12h : ce fut un atelier d’initiation au fifre et
de 14h à 18h :un atelier de perfectionnement pour les joueurs de fifre de niveau moyen ou confirmé.

Le Centre Culturel de la visitation a accueilli  une exposition de Claude Groschêne consacrée à l’aquarelle du jeudi 26 septembre au 26 octobre 2013

« L’aquarelle est un sport de combat »
de Claude Groschêne

Longtemps Claude Groschêne a cherché à dompter l’espace, à capter la lumière, dans les houles déferlantes où l’immobilité de constructions humaines, de fleurs aquatiques. Mais depuis trois ans environ, Claude Groschêne a accosté. Il nous livre ses nus, portraits en pieds, « figues humaines » comme il les nomme, étonnamment présentes, imposantes dans leur simplicité, leur évidence apparente. Pour ce travail patient qui doit capter le personnage dans son ensemble, intégrer cette lente et constante fabrication de notre propre corps, de notre propre apparence.
Tous les arts intéressent Claude Groschêne dès qu’ils sont porteurs de culture. Il n’est donc pas étonnant que l’artiste ne cherche pas à faire partie d’une école, d’une avant-garde quelconque ; le temps ne l’intéresse pas s’il doit impliquer une chronologie ; le temps est fait de sa propre patience à peindre, à approfondir sa recherche dans un mouvement ondoyant, comme celui des vagues et des reflux d’une grande partie de son œuvre.

A l’issue de l’exposition, Claude Groschêne a animé un stage d’aquarelle les 22, et 23 octobre. La première journée, un petit groupe d’enfants a eu une approche de l’aquarelle.  Le matin Claude Groschêne les a guidés avec un modèle différent pour chacun, et l’après-midi les enfants ont  exprimé librement leur ressenti avec plaisir et  joie. La deuxième journée fut ouverte à un groupe d’adultes débutants et initiés. Ils ont travaillé aussi avec un modèle et les conseils de l’artiste. Le stage a réjoui petits et grands.